Assurer l’entretien et la réparation de véhicules et apprendre à gérer un atelier et sa clientèle en pouvant approfondir ses compétences de l’après-vente ou se spécialiser dans la conception et la performance de moteurs de compétitions.
– être acteur de la transition énergétique et écologique. Il se traduit notamment par l’objectif de multiplier par cinq, d’ici fin 2022, les ventes de véhicules 100 % électrique ainsi que le nombre de bornes de recharge disponibles en visant un ratio d’une borne pour dix véhicules.
– créer l’écosystème du véhicule autonome et expérimenter à grande échelle, pour offrir de nouveaux services de mobilité.
Réceptionnaire d’atelier, conseiller service, chef d’équipe ou d’unité, technicien diagnostic, conseiller technique constructeur sont les métiers et les fonctions les plus courantes des services après-vente.
– Technicien(ne) automobile en garage
– Électronicien(ne) automobile
– Expert(e) automobile
– Vendeur(euse)-magasinier(ère) en fournitures automobiles
– Vendeur en concession
sites de production
salariés
milliards d'euros de chiffre d'affaire
milliards investis chaque année dans la R & D
Les voitures de demain ressembleront de plus en plus à des «smartphones sur quatre roues», selon l’expression consacrée, et Renault n’entend pas rater ce virage majeur.
D’ici à dix ans, « nous passerons d’une entreprise automobile utilisant la technologie à une entreprise technologique utilisant des voitures », a résumé le directeur général, Luca de Meo, en présentant la nouvelle stratégie du groupe.
Alors que les partenariats entre constructeurs et acteurs du numérique se multiplient, le Losange a détaillé ses propres alliances. Il n’est pas peu fier d’avoir fait affaire avec Google : en 2022, Renault va lancer Mylink un nouveau système d’ « infodivertissement » conçu avec le géant du Net, qui sera inauguré par la future Megane électrique eVision. « Nous serons le premier constructeur à proposer les services de Google dans des voitures produites en grande série », se félicite Luca de Meo. (extrait article LES ECHOS)
Zoom sur le partenariat annoncé le 12 janvier entre Renault et l’américain PlugPower sur les véhicules utilitaires légers à hydrogène. Philippe Prével, en charge des projets de « carburants alternatifs » et Andy Marsh, PDG de PlugPower détaillent pour Industrie & Technologies leur future offre clefs en mains, de l’approvisionnement en hydrogène en passant par la maintenance des véhicules et stations de recharge. Hydrogène all inclusive ? Les partenaires franco-américains affichent l’ambition de conquérir « plus de 30 % » des parts du marché européen des véhicules utilitaires légers à hydrogène. Les premières flottes pilotes, attendues courant 2021, concerneront le fourgon de type Master (3,5 tonnes de PTAC). Vers une offre clefs en main, de l’approvisionnement en hydrogène à la maintenance du véhicule : « Nous souhaitons proposer, clefs en mains, tout ce dont le client a besoin lorsqu’il achète une voiture à hydrogène : les stations de recharge, l’approvisionnement en hydrogène, toute la maintenance, etc », développe M. Prével. (extrait article “Industrie et Technologies”)
